top of page
  • Photo du rédacteurjjsibilla

Une dentelle s'abolit (1887)

Dernière mise à jour : 8 avr. 2019

Une dentelle s’abolit Dans le doute du Jeu suprême À n’entr’ouvrir comme un blasphème Qu’absence éternelle de lit.

Cet unanime blanc conflit D’une guirlande avec la même, Enfui contre la vitre blême Flotte plus qu’il n’ensevelit.

Mais chez qui du rêve se dore Tristement dort une mandore Au creux néant musicien

Telle que vers quelque fenêtre Selon nul ventre que le sien, Filial on aurait pu naître

24 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . » Mon crime, c’est d’avoir, gai de vaincre ces peurs » Traîtresses, divisé la touffe échevelée

Tel qu’en Lui-même enfin l’éternité le change, Le Poëte suscite avec un glaive nu Son siècle épouvanté de n’avoir pas connu Que la mort triomphait dans cette voix étrange ! Eux, comme un vil sur

bottom of page