La ballade du sous-main chante la terre épique
du roman dé-oeuvré par de belles paroles j'ouvre et je
referme mon plat quand un Taon pique.Sachez conduire
à cette fin dernière en cette dernière fin des lieux
perdus de désir.L'ouvrage avance de la paume une marche
désolée.
Oubli cette oeuvre est pierre, sème dans le crépuscule
la vision muette vaguement honteuse du miroir.
Cette image est une histoire.
Le répit une ligne démente du regard.Sachez savoir
un mentir inverti de la moire.Valeur des torrents,faut-il
souffrir d'un caprice l'illusion lisse et riche ?
Il n'est pas de répit au mal.
Sachez le, rien ne défait les mots exhumés du savoir.
Un accord plus fort que l'alcool s'étend sur le vrai aride
du désert et mord.
Oracle et paroles prêchées sont sans histoire.
Sans passé.
Il n'y a rien.Passe donc la Sirène.
C'est sans gloire que le poète aspire à se vivre,
il n'y a rien, il n'y a plus jamais rien qui reste.
Cette sorte de nudité ne l'appelez pas poésie.
Car c'est vrai.
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