top of page
  • Photo du rédacteurjjsibilla

Une poésie de l'illusion

Dernière mise à jour : 1 janv. 2019



Une poésie de l'illusion


Aux cieux vides nous tairons l'histoire de nos sens

et à la main cauteleuse nous dirons abîme toi dans le désert

d'argent où s'agitent les fruits léchés et grattés,

Non le discours de l'illusion

s'abîme


La croix qui fut, si vide, si mortelle n'a pas d'air à chanter



ARIA


COEURS

Coeurs désunis

ne peuvent se comprendre l'un sans l'autre

et sans l'eau retombée sur eux



Cimetières sans croix


Oh ! parentés éternelles

Oh ! corps lointains

Je vous ai pris toutes apprises

Je vous ai vu toutes assises

toutes arides

du sol lointain


Du chasseur ou de la biche

du vainqueur malheureux

à son cortège

Il n'est rien de plus

qu'un ami dans la neige

qui fond laissant le marécage

des cités détruites













31 vues0 commentaire

Posts récents

Voir tout

Pour toi Villon

Pour toi Villon, J'ai pissé en Latin de la copie verte Les Algues sont charmantes et Il devient de plus en plus mortel de sortir de terre Majoré par de belles promises Je hume la posture du ciel Je ha

FLASHS II

Idem qui fuit Suivi par Cervelas Rattrapé par Untel Tué par moi. Foutre, de bon coeur Une bonne fois Je suis terrible Et ma commère est la foi. Ah divins ! Vous m'avez blessé Avec vos espinglettes Moi

bottom of page